jeudi 3 juillet 2008

variation 23. du peint sur la planche, des pas perdus

du peint sur la planche,
des pas perdus

4 commentaires:

christiane a dit…

Je ne sais pas pourquoi, j'aime retrouver ces planches peintes avec naïveté, comme de grands enfants qui auraient barbouillé selon leur joie et puis c'est un signe de choses simples et douces. je préfère cela aux images du dessous et aux textes ironiques. L'ironie méchante me fait changer de route, la douceur et la simplicité, m'attarder.
Je trouve dans tout cela un peu d'amertume, de tristesse. Comme si des choses si simples à dire ne l'étaient pas.

christiane a dit…

Aujourd'hui, je soulève une planche. Qu'y a-t-il derrière ?

Anonyme a dit…

bien dit

Anonyme a dit…

"Pas perdus"...
ils ne sont "pas... perdus", ne se sont "pas... perdus" ou ils s'éloignent "perdus" et leurs "pas" vont se perdre dans le monde des "pas...perdus"...
Il faudra plus qu'un "jogging, à la verticale" pour décider s'ils sont "perdus" ou "pas perdus"...