dimanche 18 mai 2008

variation 12. monsieur broutin, par patrick

Monsieur Broutin par Patrick.

9 commentaires:

Anonyme a dit…

Patrick nous donne un Broutin sans éclat ni couleurs (à part sa petite rosette, seule marque de distinction du personnage) avec toujours le même talent.

Anonyme a dit…

Le même !
Il n'y a qu'à voir son blog.
Ceci dit, pour ma part je voyais Broutin plus gros et mou, pas vous ?

Anonyme a dit…

Broutin teint terne au brou
Poète à la noix

christiane a dit…

Les mains...

Anonyme a dit…

voyez qu'en donnant à Broutin un visage somme toute ordinaire, un homme sur le front duquel rien n'est écrit, derrière lequel rien ne se suppose, un air pas plus dégourdi que ça, un homme qui, à son âge, garde encore serrés au creux de son ventre les mêmes émois que ceux qui le tenaillaient adolescent, voyez comme l'amour qu'a pu, qu'aurait pu lui porter Albin trouve toute sa limipidité, Albin ne serait pas entiché de la bêtise, Broutin malgré ses maladresses reste à contre-courant, écrire, même mal, reste pour lui comme une respiration nécessaire, une évasion attendue après son temps de travail, de famille, d'obligations, comme je te comprends Albin, je crois revivre un peu des moments qui ont préludé à ma vie avec Jacky, un amour comme je ne l'imaginais pas, inattendu, à l'envers de l'idée que je m'en faisais, à rebours de ce qui me semblait être à peine acceptable, l'amour n'a pas de visage, n'habite pas plus à Saint Tropez qu'à Valenciennes, l'amour, c'est comme un vertige pour toujours, en fait je ne pensais pas devoir dire un grand merci à cet homme, Broutin, que j'avais dessiné comme je l'imaginais et cette Madame Marcel qui me donne du fil à retordre...

Anonyme a dit…

Etrange parole de ce Patrick, familière et inconnue.
Elle me donne accès à ce blog dont j'étais bien incapable de retrouver l'adresse ! Ces étranges tiroirs s'ouvrent, les uns dans les autres et quand on les referme on ne retrouve plus le chemin qui nous y a conduit. Ainsi de celui-ci. Quelle est l'adresse qui ouvre ce site ? "variations et contrepoint"...et.... ?
J'aime beaucoup ce qui est écrit ici mais cet Albin ne pourrait-il dire clairement ce qu'il lui reproche à cette madame Marcel ?
Dans tous ces noms, dans toutes ces voix, je crois qu'elle ne sait plus qui est qui et qu'elle finit par aimer un être polymorphe qui rassemblerait en lui toutes les voix qu'elle aime. Si parfois elle croit parler à l'un en parlant à l'autre peut-on l'en accuser? Ainsi ce Saint-Tropez la ramène à un texte sublime qu'elle a lu sur un autre site et le concert, splendide, de la soirée lui a semblé être familier de cette même voix. S'est-elle trompée ?
Ah comme elle aimerait n'avoir qu'un seul chemin mais on la perd chaque jour un peu plus et elle en souffre vraiment...

Anonyme a dit…

Michel Alba;;;très profonde écriture...des océans de tendresse... Une culture à ne pas rentrer dans les bibliothèques..; une vie déjà et un vertige...épars sur 2 ou 3 pages du blog...peut-être plus...
Des appels auxquels je ne peux répondre ne sachant plus où le trouver sauf peur-être sur ce blog ?
Réponse vraiment désirée.

Anonyme a dit…

Là, ces mains et ce regard, ces mots au bord des lèvres...seulement au bord des lèvres...
Christiane

Anonyme a dit…

Pour Anonyme à qui elle aura échappé l'adresse d'Albin :

albin@lavache.com