Escher, Drawing Hands, 1948
Le sujet d’Albin :
son mot, ses lèvres, sa main, son sujet,
le clone.
Albin clôt dans son clone
le grand-ouvert des choses.
Sous son clone d’encre
et de substantives créations
le papier se froisse,
palpite,
toujours l’adamique désir de prolonger la page.
Les bords ondulés du clone
les bords ondulés d’Albin
sur la page blanche,
patiemment, l’holoturie
digère le monde
J.
6 commentaires:
Trépang trépan ?
Espérer gagner encore en grande(s) profondeur(s)...
le plus beau clone - Albin à la hauteur ?
Très bon, trépang.
Trépan très peu.
Que de surprises !Tiens celui-là ne veut pas voyager !
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